De l'activité dans une maison abandonnée! (Mitch)

Dans la sinistre maison, il faisait terriblement sombre même vers midi. Les vitres étaient couvertes de poussière et de toile d’araignée filtrant tous les rayons du soleil. Soudain, la lumière blanche pénétra dans la maison aveuglant toutes les petites souris qui s’y étaient réfugiées. Les rongeurs entendirent trois pas puis le claquement d’une porte qui se referme. Les lieux étaient de nouveau plongés dans le noir. Les petits rongeurs s’étaient tous cachés sous une vielle planche de bois abîmé du planché.

N’y voyant pas grand-chose, je saisis le ballais qui était accoté à côté de la porte puis m’approcha de la seule fenêtre de la maison que je pu apercevoir grâce à un petit coin que la poussière avait épargnée puis à grand coup de ballais, je dégageai la vitre de toutes ses saletés replongeant la pièce dans la lumière que le soleil dégageait jour après jour à son apogée. Avec cette lumière, je pus voir les autres fenêtres et les nettoyer rapidement aussi. J’allai donc m’asseoir sur une vieille chaise berçante pour apprécier le moment. C’est alors qu’une petite souris grimpa sur mon pantalon et vin littéralement s’asseoir sur ma cuisse.

-Hé toi! Tu as un bon nez pour sentir mon dînez! Ne bouge pas, je vais te donner un petit quelque chose.-

Je mis la main dans mon sac puis sortis une miche de pain. J’en déchirai un petit bout puis lui tendit. La souris saisit le pain avec ses petites pattes puis le fourra au complet dans sa bouche avant de se jeter sur le plancher et de courir rejoindre ses frères et sœur sous la planche brisée. Aussitôt, j’entendis des petits cris de souris qu’une cinquantaine d’entre elles sortirent au pas de coures escaladant ma chaise pour me voler mon dînez. La vieille chaise qui n’arrivait déjà que par miracle à supporter mon poids céda avec un craquement sonore m’envoyant au plancher et effrayant toutes ses bestioles affamées sauf la même petite souris qui m'escalada et alla se coucher directement sur moi.

Quelques secondes après ma chute, la porte de cette vielle maison s’ouvrit soudainement effrayant la souris qui alla ce réfugié dans la poche de ma veste. Je me levai puis me dirigeai vers la porte. Je mis la main dehors pour constater qu’il n’y avait pas de vent. Je referma donc la porte. Pour me diriger vers une autre chaise. Avant de m'asseoir, je testai sa solidité puis m'assis dessus par la suite. Ne comprenant pas ce qui c’est passé avec la porte, je restais assis là à la fixer. C’est alors que se produit quelque chose de réellement étonnant. Une souris était entrain d’escalader le vide! C’est à ce moment que je fis le lien entre moi et cette chose que la souris escaladait. C’était un fantôme!

-Vous savez qu’une souris est entrain de monter sur votre chaussette? Venez donc vous asseoir, ne soyez pas gêné la maison n’appartient à personne! -

Je me leva puis alla chercher une chaise en bois. Elle était solide, mais avait l’air inconfortable. J’enleva alors ma veste que je plia pour la déposer dessus en guise de coussin. Je fis cela pour montrer à l'étranger mes bonnes intentions puis retourna m’asseoir sur ma chaise.

-Voilà, ça va être plus confortable!-
Je mis ma main dans ma poche pour sortir la petite petite souris qui s’y cachait puis la flatta en attendant que cette personne se rende visible. J’avais beau être un fantôme, mais je ne voyais pas plus ce qui était invisible que quelqu’un de normal.

Quand elle se rendit visible, je fus assez surprise. C’était une très jolie jeune femme avec des yeux bleus si captivants que j’avais du mal à regarder ailleurs. La jeune femme vint s’asseoir près de moi puis me remercia. En lui tendant la main droite et en la regardant dans droit dans les yeux, je dis :

-tout le plaisir est pour moi! Je m’appelle Gabriel. Je suis relativement nouveau ici, je suis arrivé il y a quelques jours seulement. Puis-je connaître votre nom?-

J’étais ravi d’avoir eu de la visite d’autant plus qu’elle était charmante. Je ne savais pas si elle avait remarqué, mais ma peau avait presque la même teinte que la sienne ainsi que la froideur de ma main lors de notre poignée de main. Je décidai alors de lui expliquer que j’étais un fantôme moi aussi, mais contrairement à elle, je ne savais pas encor comment devenir invisible.

-Tu m’as l’air très brillante, mais au cas où tu ne l’avais pas déjà deviné, déjà deviné, je suis un fantôme moi aussi. La seule différence c’est que moi, c’est très récent et je n’ai pas appris comment me rendre invisible. –

Sur ses mots, je pris ma petite souris et la posai sur le sol pour qu’elle aille rejoindre sa famille.

Vais reposter plus tard... fais juste enlever pour tt suite